BOLÉRO/ENTROPIE/JOIN2
Trois pièces, trois visions de la danse contemporaine : l’Ensemble chorégraphique du Conservatoire de Paris célèbre la diversité des écritures et l’élan d’une génération plurielle avec Odile Duboc, Léo Lérus et Ioannis Mandafounis
Durée : 1h10
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Théatre Nationale de Chaillot
1 Place Du Trocadéro 75016 Paris
Placement numéroté. Durée : 1h10 Salle : Firmin Gémier Les représentations débutent à l'heure précise. Afin d'être assuré de pouvoir entrer en salle et conserver votre placement, nous vous recommandons d'arriver 30 minutes avant le début de la représentation
Le théâtre est accessible aux utilisateurs de fauteuil roulant ainsi qu’aux personnes à mobilité réduite. L’entrée se fait par les jardins du Trocadéro. Il vous est néanmoins conseillé de réserver directement auprès du théâtre (pour vérification des disponibilités, l’organisation de votre venue et toute demande de placement particulier).
BOLÉRO/ENTROPIE/JOIN2 Trois pièces, trois visions de la danse contemporaine : l’Ensemble chorégraphique du Conservatoire de Paris célèbre la diversité des écritures et l’élan d’une génération plurielle avec Odile Duboc, Léo Lérus et Ioannis Mandafounis Durée : 1h10 Odile Duboc, Léo Lérus et Ioannis Mandafounis L’Ensemble chorégraphique du CNSMDP Présentation Chaque saison, l’Ensemble chorégraphique de la plus prestigieuse des écoles de danse, le Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris (CNSMDP) se donne des allures de compagnie : immersion dans les œuvres du répertoire, créations sur mesure, vie de tournée et rencontres avec des chorégraphes majeurs. Cette année, les trois pièces puisées dans trois univers et trois gestes chorégraphiques sont incarnés avec fraîcheur et précision par cette troupe composée de douze danseurs en formation. Avec boléro un, extrait de la mythique trilogie d’Odile Duboc, les corps s’organisent en contrepoint de la musique de Ravel. Une danse-paysage, subtile et collective, où la sensation prime sur la démonstration. Puis vient Entropie de Léo Lérus, puisant dans le Gwo-Ka et les danses caribéennes une physicalité intense, aux frontières du chaos et de l’équilibre. Enfin, JOIN 2, création d’Ioannis Mandafounis, traverse l’espace de fulgurances lumineuses et de silences brutaux, composant une partition de groupe où les individualités se frottent au mouvement commun. Un concentré d’audace, d’énergie qui vous permettra de découvrir les talents de demain. Amélie Blaustein Niddam "Entropie" de Léo Lérus Entropie est une œuvre importante de Léo Lérus, qui cherche à montrer son identité de danseur guadeloupéen dans le monde de la danse contemporaine. Dans cette chorégraphie, il s’inspire des recherches de François Roddier sur la science des systèmes, de l’énergie et du désordre. En tant qu’artiste, Léo Lérus souhaite créer une danse contemporaine qui garde la musicalité et les mouvements du Gwo-Ka, une danse traditionnelle de la Guadeloupe. Il intègre aussi des éléments du Léwòz, du carnaval et de l’identité guadeloupéenne, ce qui rend son travail unique et enraciné dans sa culture. Léo Lérus collabore avec des artistes du monde entier et utilise des technologies modernes pour enrichir ses créations. Léo Lérus "JOIN 2" de Ioannis Mandafounis JOIN 2 est née de la rencontre, en novembre 2024, entre les étudiant.es du Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris (CNSMDP) et les danseurs et danseuses de la Dresden Frankfurt Dance Company au Théâtre de la Ville, sous la direction du chorégraphe Ioannis Mandafounis. Réadaptée ici pour une version avec douze danseurs, JOIN 2 reprend la trame chorégraphique qui met en avant les notions de groupe, d’identité et de « faire corps » ensemble. La pièce s’appuie sur une mise en scène marquée par des blackouts (noirs au plateau) instantanés, donnant aux scènes un caractère unique et particulier, tout en défiant continuellement la perception du public. Ioannis Mandafounis boléro un" d'Odile Duboc “J’ai donc commencé à rêver. Trois versions me sont apparues essentielles. L’une composée d’une dizaine de danseurs, où la danse suivrait, non pas la proposition du crescendo, mais la sensation d’accumulation progressive grâce à celle des instruments. Elle serait par contre nourrie d’interventions verticales, non présentes dans la musique. Ces interventions, loin de s’opposer à la musique, chercheraient à lui donner une nouvelle couleur, grâce au développement ponctuel d’un système de contrepoints chorégraphiques” Extrait de la note d'intention, Odile Duboc, 1994
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