THE DISAPPEARING ACT YINKA ESI GRAVES
La danse, la musique aux racines flamenca, les textes et les vidéos en direct constituent ce spectacle comme une œuvre expérimentale flamenca, à la façon d’une fête – concert ghanéenne re-imaginée.
Durée : 1h00
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Théatre Nationale de Chaillot
1 Place Du Trocadéro 75016 Paris
Placement numéroté. Durée : 1h00 Salle : Firmin Gémier Les représentations débutent à l'heure précise. Afin d'être assuré de pouvoir entrer en salle et conserver votre placement, nous vous recommandons d'arriver 30 minutes avant le début de la représentation
Le théâtre est accessible aux utilisateurs de fauteuil roulant ainsi qu’aux personnes à mobilité réduite. L’entrée se fait par les jardins du Trocadéro. Il vous est néanmoins conseillé de réserver directement auprès du théâtre (pour vérification des disponibilités, l’organisation de votre venue et toute demande de placement particulier).
THE DISAPPEARING ACT YINKA ESI GRAVES La danse, la musique aux racines flamenca, les textes et les vidéos en direct constituent ce spectacle comme une œuvre expérimentale flamenca, à la façon d’une fête – concert ghanéenne re-imaginée. Durée : 1h00 Présentation Le flamenco est un art en constante évolution. En témoigne cette création de Yinka Esi Graves, née à Londres dans une famille jamaïco-ghanéenne et qui se consacre depuis quinze ans à cette danse. Au cœur de son solo, présenté en 2024 au Festival d’Avignon, un être que la chorégraphe décrit comme un mirage : La Lala. Cette apparition s’inspire de l’acrobate métisse Olga Brown, peinte par Degas dans son tableau « Mademoiselle Lala au Cirque Fernando ». Fille d’un ancien esclave africain et d’une Allemande, cette artiste fut célébrée au 19e siècle pour son adresse, tout en étant déniée dans sa dignité en raison de ses origines. Elle incarne les phénomènes conjoints de camouflage et d‘invisibilisation, auxquels peuvent être soumis des individus et des cultures. Yinka Esi Graves met ainsi en lumière les traces laissées dans le flamenco par les populations afro-descendantes, installées depuis plusieurs siècles dans le sud de l’Espagne. Soutenue par le guitariste et improvisateur Raul Cantizano, le batteur poète Rémi Graves et la chanteuse andalouse Rosa De Algeciras, elle donne corps et voix à ce passé enfoui. The Disppearing Act prend alors la forme, inattendue et réjouissante, d’une fête-concert ré-imaginée à la ghanéenne. Isabelle Calabre Dans la presse La chorégraphe Yinka Esi Graves irradie la Cour du lycée Saint-Joseph avec son flamenco vibrant, dans un numéro d’apparition et de disparition qui évoque l’effacement des corps noirs. Lire l'article de Belinda Mathieu pour sceneweb Entre présence et évanescence, apparition et camouflage, lumière et obscurité, Yinka Esi Graves tresse un geste contemporain, enrichi de ses multiples influences. Lire l'article de Rosita Boisseau pour Le Monde Un déchirant autoportrait dansé qui explore les racines profondes de l’art flamenco et interroge l’invisibilité comme “matière à créer”. Philippe Noisette, Les Inrockuptibles Avec The Disappearing Act, la multiculturelle danseuse plurielle donne un nouveau souffle au flamenco en le rendant plus africain, plus queer, plus féminin. Une révélation ! Lire l'article d'Amélie Blaustein Niddam pour Cultnews Yinka Esi Graves est une chorégraphe qu’il faut découvrir : son parcours nous amène vers des sources inexplorées du flamenco, à la recherche des traces laissées par les cultures africaines. Nathalie Yokel, La Terrasse Une artiste rare est née ! Lire l'article de Olivier Frégaville Gration d'Amore pour l'oeildolivier.fr Petit à petit, Yinka Esi Graves se fait une place au milieu des autres danseurs et danseuses même si elle détonne. Elle gagne le respect de ses pairs en apportant une autre dimension au flamenco. Berthe Tanwo Njole, RTBF
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