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CLARA YSE, Marseille Agrandir l'image

CLARA YSE

Marseille

Clara Ysé, c’est, d’emblée, une voix. Une voix qui soulève le sable, traverse le feu, transperce la nuit, franchit en souveraine des continents de sentiments. Avec Oceano Nox, son premier album alliant une orchestration audacieuse de cordes, chœurs, cuivres, à des synthés et des textures plus électroniques, Clara Ysé s’avance en pleine lumière, à pleine puissance. Clara Ysé – Oceano Nox C’est, d’emblée, une voix. Une voix qui soulève le sable, qui traverse le feu, transperce la nuit, franchit en souveraine des continents de sentiments et transporte avec elle la douleur autant que ses remèdes. Elle est ce « joyau intact sous le désastre » de Mallarm


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Informations placement :

Placement mixte : Carré Or : Places assises numérotées Catégories 1 & 2 : Places assises numérotées Fosse : Placement libre debout


Présentation :

Clara Ysé, c’est, d’emblée, une voix. Une voix qui soulève le sable, traverse le feu, transperce la nuit, franchit en souveraine des continents de sentiments. Avec Oceano Nox, son premier album alliant une orchestration audacieuse de cordes, chœurs, cuivres, à des synthés et des textures plus électroniques, Clara Ysé s’avance en pleine lumière, à pleine puissance. Clara Ysé – Oceano Nox C’est, d’emblée, une voix. Une voix qui soulève le sable, qui traverse le feu, transperce la nuit, franchit en souveraine des continents de sentiments et transporte avec elle la douleur autant que ses remèdes. Elle est ce « joyau intact sous le désastre » de Mallarmé, pierre brute inamovible malgré le chaos, miraculeux talisman resplendissant sur des musiques elles aussi serties de beauté et de bravoure. Après un discret tour de piste en 2018 – six titres en français et en espagnol, dont le magnétique Le Monde s’est dédoublé – Clara Ysé s’avance enfin en pleine lumière, à pleine puissance, avec Oceano Nox, premier album à l’audace orgueilleuse entièrement écrit et composé par elle, co-réalisé avec Ambroise Willaume (Sage) et porté en battante avec des musiciens et un chœur au diapason. Depuis l’enfance, elle joue et chante, assise derrière un piano quand elle savait à peine marcher, puis éduquée au chant lyrique à huit ans, avant de grandir en soprano et de tracer une route parallèle vers la chanson à ses études au conservatoire et à son master de philosophie. Parvenue à l’entrée de la trentaine, Clara Ysé possède ainsi derrière elle une longue traine d’expériences et de sensations mêlées, de plaisirs sédentaires à mettre des poèmes en musique, mais aussi de voyages et de mariages artistiques et culturels qui imprègnent désormais son art incandescent et troublant. C’est, elle ne dissimule rien, une fille meurtrie par un drame intime qui a juré de renaitre en amazone, au galop contre l’emprise du deuil, qu’elle sait chanter sans démonstration (Lettre à M.) et dont elle s’effeuille du poids avec la légèreté luminescente d’une luciole (La maison). Vous la pensez douce ? Ecoutez ce qu’elle en dit dans la chanson trompeuse qui porte ce nom : « Si tu savais la haine qui coule dans mes veines, tu aurais peur, si tu savais la chienne que je cache à l’intérieur… » Passionnelle comme les aïeuls espagnols qui la précèdent dans son arbre généalogique, littéraire par atavisme (elle doit l’Ysé de son double prénom au Partage de Midi de Claudel), elle a publié un premier roman ardent, Mise à feu (2021), avant le grand embrasement de cet album qui démarre lui aussi tout feu tout flamme (Pyromanes). Longtemps, Clara Ysé a laissé la musique en liberté, sans chercher à la capturer dans un studio, préférant chanter dans des bars, ou organiser des fêtes qui terminaient invariablement en impros musicales et vocales jusqu’à l’aube. Les chœurs de Pyromanes ou de Souveraines viennent de là, voix d’hommes et de femmes qui l’accompagnent depuis toujours, et certains des musiciens – joueur de duduk, cuivres ivres ou violoncelle tisseur de songes - ont également vécu ces partages de minuit. Observer un père peintre, suivre la métamorphose de ses toiles qui partaient toujours du point le plus sombre pour mieux laisser jaillir la clarté, l’a aidé une fois qu’elle s’est mise à écrire des chansons en tentant d’adapter les mêmes évolutions chromatiques. Elle a aussi parcouru l’Amérique du sud, emprunté au réalisme magique de la littérature mexicaine ou colombienne ses ensorcellements (Magicienne, Le désert) et ses envolées oniriques, qu’elle a su parfaitement retranscrire en musique (Cœur indompté). Ce premier album n’est pas celui d’une souffrante, il est même tout l’inverse : celui d’une désirante, d’une « obsessionnelle de la réparation », dit-elle, qui a choisi la lumière jusqu’à s’en aveugler, l’étourdissement plutôt que la langueur ténébreuse, la vie voluptueuse aux lisières de la transe au lieu de vivre à l’arrêt. Elle aime les novateurs, de Rosalia à Kendrick Lamar, les chanteuses envouteuses comme Lole Montoya ou Mercedes Sosa, autant que la musique baroque et la liturgie extatique des chants grégoriens. Elle confronte sa voix classique, évoquant tour à tour Barbara et Anne Sylvestre, à une modernité jamais artificielle ni opportuniste, par goût de transgresser et de tromper la sagesse, jouant avec ses producteurs à introduire des syncopes du reggeaton ou à s’approprier le ribétiko grec qu’elle aime tant. Avec le feu, l’eau est son autre élément, celui de la tourmente comme de l’apaisement, et en empruntant à L’Enéide de Virgile le titre de son album (« et ruit oceano nox », « et la nuit d’élance de l’océan »), déjà repris par Victor Hugo dans un poème dédié aux marins disparus, elle sait qu’hisser les voiles, comme elle chante dans l’accrocheur L’étoile, est aussi un geste d’amour fou, à en perdre l’équilibre et la raison. Vulnérable mais puissante, solide comme le granit et pourtant insaisissable, elle pénètre dans la chanson française a

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